Photo © Suzi Medeiros

Sois toujours poëte, même en prose

29 mai 2010

"Inch Aphrodite" - post scriptum ... 3 ans avant que l'amour ne meurt-

Combien de belles histoires viendront me conforter
Peut être les mêmes qu ‘on ma raconter avec un ton forcé
Dorloté par des poèmes qui parle mal des cœurs qui tombe séchés
Mon père ma évité la vérité derrière les contes de fée
De mes premiers jours en passant par mon premier baiser
Jusqu'à ma mort jamais je n’oublierais l’amor biaisé
Même à jamais blessé la haine ne m’auras que lorsqu’il ni auras plus d’amour
La paix ne mourras que lorqu’il n’y auras plus de glamour
Mes rêves, mes ambitions toute tombés dans l’ocean
Les vagues de mes sécrétions ont valsé jusqu'a ma bouche beante
Mes mots les plus doux versé dans le néant
Né en 81 j’ai pris un sacré coup a 25 ans
Mais hélas pour le désespoir,
Après avoir couché pendant 45 jours avec la reine de mes cauchemars
J'ai embrassé mes dragons et brassé mon donjon
pour pouvoir donner la main a cette star qui ma fermé les yeux pour mieux voir
Mais Il ma fallu gravir les montagnes sans cane ni champagne
Jusqu'au sommet! Combattre bagne et hargne qui me sommait
Dans ce pèlerinage vers la raison du voyage
j’ai retrouvé la vue quand une pirate m’a soufflé au visage
Après paris j’avais sillonné sur toute les plages
De Bari,Santorini a Catania j’ai pas pleuré
Puis j’ai finit par payer le prix de ma rage
Pour enfin dire guarda che luna, guarda che mare


Mon cœur et ses pulsions ont pris le pas sur les dépressions de l’ame
A toutes les prisons de mes passions pour ne pas que fleur fane
J'ai versé des larmes sur le béton qui l’étouffait comme une flamme
Affable à l’idée qu’un jour je retrouverais une femme
Avez vous remarquez que lorsqu’une flèche est craqué
son vol éreinté ne fait pas plus de 20 pied
Avant de s’écraser au pied de celle qu'on a tant épié
Figé au sol comme excalibur et son épée
Pour avoir le bon calibre jai pris mon pieux et jai sculpté
mais avant de vernir j'ai fait de mon mieux pour écrire sur le papier sablé
Jusqu'a en écorché mes souvenirs! Jai donc du ressortir mes pinceaux
Quitte a fondre dans la gouache de mes plus belles fotos
Puis cenue d’un brasier qui tirait au rouge une lueur se fie rebelle
Elle alluma ma mensure d’une étincelle
Cette fille si belle qui ma donné en cachette une coccinelle
Ma bonne étoile, peut être était ce elle
Pour tout les rêveurs insomniaque de ne plus trouver ou songer
D'une nuit qui rend paranoïaque puis nous accuse de ne rien éponger
Eros étoupe nos proses qui s'essouffle a force de lâcher leurs souffles
Pour n'en retirer que du souffre qui encore nous étouffe
Hathor des fois tu me plait, Parfois je te crache
Mais souvent je suis niais,Puis qu'au fond je le sais, Qu’on s'embrasse
Mais n'attend pas l'apocalypse pour essuyer tous les dommages
Fait au sceptique de tes éclipses, reste plutôt légendaire comme les rois mages

1 commentaire:

David Dufour a dit...

Yo t'es en feu!! J'aime ce texte