Photo © Suzi Medeiros

Sois toujours poëte, même en prose

6 février 2011

Le désarmement extérieur passe par le désarmement intérieur

Qu’on me désarme car la guerre j’illustre
Des blames sont inscrit sur mon papyrus
Voila des lustres que je confond larme et lame
Dites a Sésame qu’il s’ouvre, j’arrive en bus
Écouter mon cœur, d’un papy russe j’ai la senteur
J’ai la rancœur de la révolution et de la vodka
Soldat mangeur de désolation et de menteuses
Demande leur ce qui est arrivé a mon union et meme le sot sera
Dans la dissolution c’est pas sans pleur qu’on se sauvera
La solution appartient à la sera ou aux chrysanthèmes
Meme si je la prie que je l’aime, elle m’a gardé distant
Et puis est venu lorsque la crise était en thème celle que personne n’attend,
Sciemment j’ai gardé mes problemes en main et demain je les reprends
Des échecs, des deuils et des ténèbres qu’on porte
Ce sont les nerfs qu’on porte qui s’effeuille

On pourras parler de notre victoire à femmes et enfants

Moi je le voyais plutôt comme un mouchoir,
mais en fait ils m’ont dis que c’était notre drapeau
Pour moi, il servait a mettre le désespoir dans un fourreau
Pour eux il était la couleur de l’espoir qui nous portera tout la haut
En fin de compte il était le hachoir que nous présenterons a notre bourreau
Un drapeau!!!
Et dire que moi je croyais que c’était un mouchoir,
Donnes moi Un mouchoir!
Tu sait ce tissus qu’on agitent quand un train ou un bateau part
Et puis au fond c’est le même truc un drapeau et un bateau qui part
Les deux désirent à voir un territoire. Tout Ca me rappelle le terroriste et la pirate
C'est drole!
Depuis le 11 septembre on a peur qu'on devienne terroriste et ainsi on nous gardait sous la démouestocratie.
Et puis avant, la petite ile de djerba était le refuge des pirates, et puis on nous plaĉa sous la démouestocratie.
Aussi faut me sentir, ce morceau de couleur était souillé de sang et de désespoir
Mais j’ai entendu dire que ces douleurs quand on les fait enflées elles font notre histoire
L’histoire la foule criait quelle nous avait été bouffé,
et que dans cet étendard reposait notre espoir
Moi je le voyais plutôt comme un kleenex,
mais en fait il m’ont dis que c’était note fanion
Un fanion, et dire que moi je croyais que c’était un kleenex, quel honte !
Donnes moi un kleenex!!!
Tu sais ceux qu’on a au enterrement pour se faire croire qu’on combat la peste
C’est donc ca la vie,
se battre contre des illusions, ce que je voit c’est des morts se battre en direct
Mort parce que sous silence pendant si longtemps, et puis vint internet
Je n’avais vu que des campagne médiatique à l'étranger, des appels au votes et pas d'enquête
Mais la on ne faisait plus appel a la loi… non, on demandais la force…de mourrir à la gachette
D’où je viens on nous demandais d’agir comme des hommes et de détendre la bête
le gars a coté de moi, il criait,il riait de mes réflexion, me pointant, me criant que nous n'étions pas bête
Il pleurait qu’il fallait convaincre les hommes a être libre
Moi je le voyais plutôt comme un style, mais en fait il ma dit que c’était notre idée
Une idée, et dire que moi je croyais que c’était un style, quel idée!
Représente mon style, tu sait celui avec lequel je peut camoufler ma classe et mes rides
Selon le cash J’était un égoiste, parce que disait-il nul n’avait besoin de l’autre pour vivre
Mais dans un tel clash de société N,avions nous pas besoin de l'autre pour vivre
On me répétait : mon droit a la vie, a la sécurité et si dieux insiste, mais seulement si il existe une place a l’asile
moi je pensait plutôt a l’exile Mais le gars a coté avait désir; contraindre les hommes à vivre
le pouvoir était au bout de leur fusil et on finiras fils unique mais avec le gouvernement qu’on mérite
Moi le pouvoir je le voyais plutôt comme une guenille, mais en fait il m’ont dit que c’était notre maillot
Un maillot, et dire que moi je croyais que ce n’était qu’une guenille,
Donnez moi une guenille, mais pas celle qui quand elle est sale on ne la lave qu’avec les siens