Photo © Suzi Medeiros

Sois toujours poëte, même en prose

6 février 2011

Le désarmement extérieur passe par le désarmement intérieur

Qu’on me désarme car la guerre j’illustre
Des blames sont inscrit sur mon papyrus
Voila des lustres que je confond larme et lame
Dites a Sésame qu’il s’ouvre, j’arrive en bus
Écouter mon cœur, d’un papy russe j’ai la senteur
J’ai la rancœur de la révolution et de la vodka
Soldat mangeur de désolation et de menteuses
Demande leur ce qui est arrivé a mon union et meme le sot sera
Dans la dissolution c’est pas sans pleur qu’on se sauvera
La solution appartient à la sera ou aux chrysanthèmes
Meme si je la prie que je l’aime, elle m’a gardé distant
Et puis est venu lorsque la crise était en thème celle que personne n’attend,
Sciemment j’ai gardé mes problemes en main et demain je les reprends
Des échecs, des deuils et des ténèbres qu’on porte
Ce sont les nerfs qu’on porte qui s’effeuille

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